13 juillet 2014 Balade dans les bois d’Apples et de Pampigny. Rencontre avec une très jolie souris qui m’a sourie. Erreur, ce n’est pas une souris mais, un Loir.. L’après-midi, balade “scoubidou”

Bonjour !

C’est un dimanche de balade. Le temps est presque au beau fixe mais, il y a eu un peu de pluie vers 12 h. Nous avons fait quelques rencontres tels que : 3 cavalières, un couple de promeneurs. (Le monsieur lorsqu’il a vu mes chiens c’est muni d’un bâton) Je ne sais pas si, c’était au cas où, il se ferait aborder par un de mes loulous. Il y avait également un vététiste. Vers le refuge de Boénéaz de Pampigny nous avons vu de loin 2 dames qui promenaient également leurs chiens. Je n’ai pas cherché à aller vers elles. Leurs chiens étant tenus en laisse. Le parcours de La balade pour moi a été de 9 km. Nous avons commencé par les bois d’Apples et ensuite été dans les bois de Pampigny. Le rayon d’action allant jusque vers le terrain du voile à voile de Montricher. Une photo de carte, vous situe l’endroit. La rencontre la plus marquante a été celle d’une magnifique souris des champs ou plutôt un Loir

Cet après-midi, petite balade d’une heure trente dans les bois de Yens. Nous avons croisé une jeune femme en vélo avec un enfant dans un siège spécial pour vélo. À part ça, je me suis amusé avec mon ami Nicky à lui faire rechercher un « scoubidou ». Nicky c’est bien amusé avec moi durant tout le parcourt et, bien entendu, il a également suivi son frère Silver dans diverses petites escapades de recherches. Au ¾ de notre balade, Nicky désirait à nouveau jouer avec son « scoubidou ». Pendant qu’il était en vadrouille, je me suis amusé à suspendre son jouet afin, qu’il le recherche. Pas de problème, il trouve pratiquement toujours ce que je lui demande. Le seul problème fut, lorsqu’il le tient dans sa gueule et, tout a coup, il part rejoindre Silver. Du coup, il revient mais, sans son jouet. Alors là, je me dis que ça va être « galère » pour qu’il le retrouve. Eh bien, c’est ce qui est arrivé le « scoubidou » a été perdu. Sniff, sniff. Je ne m’affole pas et, avec mon optimiste, je me dit qu’à notre prochain passage dans le coin ont se mettra à le rechercher. Il faut toujours garder un peu d’espoir.

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