Lors de notre balade, pour la 1ere fois, nous rencontrons une corneille. Le corbeau a un plus long bec et, il tiendrait un bout de fromage. Là, je mise sur une corneille. J’avais beau “bailler” devant elle, elle ne bougeait pas.
J’ai effectué une 1ère vidéo en début de balade. Nous avons effectuée une boucle de plus de 2 heures et, au retour Silver désirais prolonger un peu le parcours. Nous sommes donc repassés devant cette corneille qui n’avait pas bougée d’endroit.
ça m’a interpelé et, inquiété. J’ai donc rechercher sur internet le site de la Vaux-Lierre pour les informer de l’attitude de cet oiseau. La “spécialiste” me dit: “C’est sans aucun doute un jeune oiseau qui essaie de prendre son envol et, qu’il fallait pas m’inquiéter. a voir sur la vidéo, il me semble pas du tout que c’est un jeune oiseau. Mais bon, je me suis dit que j’avais fait ce qu’il fallait pour essayer de me faire comprendre et, me demander si, cet animal avait des problèmes. J’ai pratiquement regretté d’avoir appeler ce refuge. On pourrait même dire: “De quoi j’me mêle”?
Nicky and Silver Star Braques de Weimar of Lully “Baillent” aux corneilles. Act 2
Lors de notre balade, pour la 1ere fois, nous rencontrons une corneille. Le corbeau a un plus long bec et, il tiendrait un bout de fromage. Là, je mise sur une corneille.
J’avais beau “bailler” devant elle, elle ne bougeait pas.
Nicky and Silver Star Braques de Weimar of Lully “Baillens” aux corneilles. Act 3
Nicky and Silver Star Braques de Weimar of Lully recherche un bout de saucisse au truffe.
Notre balade s’est effectuée dans les bois d’Apples. Mes deux champions étaient en pleine forme et, il se sont bien amusés dans la neige fraîche. Ils ont également trouvé à chacun un rongeur. Plus tard, sur le chemin de retour, j’entends tout à coup un aboiement de douleur venant de Silver. Le pauvre, il venant de se blesser. Cette blessure est pareille à ce que Nicky a eu, il y a quelques mois. Ça provient d’une glissade sur des branches ou souches.
Résultat, nous sommes retournés de suite à la voiture. Pendant notre retour j’ai envoyé une photo par WathApp à madame « Colombo » Elle a pris le relais pour organiser les soins rapides chez notre vétérinaire le Dr. Marc Vingerhoets à Lausanne. Le docteur a reçu en urgence notre cher ami Silver dans l’heure suivante. Marc est vraiment un docteur « TOP » Je l’en remercie vraiment. Pendant que j’écris cette page, Silver est toujours en soins. Le pauvre, il sera bon pour rester à la maison pendant quelques jours. Par chance, avant son malheur, il a eu droit à quelques friandises et, il a également trouvé un rongeur.
Enfin, j’attends son retour avec impatience pour le « cocoler ».
Voilà l’encas du jour. Par chance, il y en a eu une pour chacun.
Bon, avec mes 2 champions, nous faisons quelques fois de nouvelles découvertes. Bien entendu, il y a aussi des balades que nous connaissons et, quelques surprises. Dernièrement, j’ai laissé mes deux champions faire prolongation comme, ils aiment le faire de temps à autre. Malheureusement, cette foi-ci, il y avait un groupe de chasseurs et, pour couronner le tout, le garde faune était de la partie. Mes deux champions ont donc été aperçu et, j’ai eu droit à une réprimande de la par du fonctionnaire.
Malgré cela, je fait totalement confiance à mes deux compagnons car, ce ne sont pas des “Teignes” ou “bêtes à tuer”. Ils gardent vraiment les “pattes sur terre” La plupart du temps, lorsqu’ils sentent ou remarquent du gibier, ils restent fréquemment très sages. Surtout lorsqu’ils sont avec moi. Nous effectuons notre balade de près de 2 à 3 heures sans aucun soucis. Ils sont toujours à faire du va-et-viens vers moi. Je les ai pratiquement toujours à vue. Mais…., il arrive que j’oublie de les contrôler. Surtout en fin de balade et, là, ils se regardent et se mettent d’accord pour aller explorer les environs. Ils reviennent sans aucun soucis après 15 à 30 minutes. Pour moi, j’ai conscience que j’ai choisi deux formidables chiens et, que l’un d’eux à l’instinct d’aventurier. Donc, j’assume. Un chien, n’est pas un robot. Il doit avoir sa vie de chien. D’autant plus que nous les “humanoïdes” nous sommes assez contrôlé par des tas de lois et de fonctionnaires.
Il est clair que plus tard, par amour pour les chiens, je n’en reprendrai plus. Je sais que je ne pourrais plus le rendre heureux car, d’ici-là, les libertés seront encore plus restreintes et, d’autre part, je serai trop vieux pour en assumer leurs besoins.
Un chien ne doit pas être acquis pour occuper son propriétaire, mais, pour qu’il puisse vivre sa propre vie de chien. Pour cela, il faut lui consacrer du temps et, qui à vraiment le temps… de nos jour pour avoir vraiment un “vrai chien” avec une vie naturelle de chien.
J’ai appris, qu’une famille ayant un enfant fort obtiendra un handy-chien d’une association. Malheureusement, je suis contre ce genre de donation. Pourtant, je suis membre depuis de nombreuses années et, j’y ai consacré une quinzaine d’années de bénévolat. Mais, pour cette remise de chien, je suis 100% contre, car, je sais que cette famille n’aura pas le temps de s’occuper de ce chien et, que ce “4 pattes” servira uniquement de soutient et présence momentané. Enfin, je dois vraiment plaindre le chien, plutôt que cette famille car, le chien, lui… il ne pourra jamais se plaindre de sa situation.
«Nous portons une attention particulière à offrir des prestations en contrepartie de l’impôt que nous prélevons»
Florence Germond, municipale lausannoise
«Franchement, je ne comprends pas. C’est le type même de la taxe injuste, bête et méchante». Marielle, une retraitée sexagénaire de Chailly, ne décolère pas. Depuis qu’elle a pris connaissance, à la fin du mois de mars dernier d’un reportage diffusé au TJ de la RTS, elle ne cache pas son mécontentement. Car elle vient d’apprendre que la taxe qu’elle acquitte chaque année pour le toutou qui accompagne la fin de ses jours, est… inutile. Du moins si l’on se place dans une perspective historique.
Mise en place au 19ème siècle, la taxe pour chien avait en effet pour objectif de financer la capture et l’euthanasie des chiens errants lors des épidémies de rage. Depuis, avec la disparition de la maladie sur le continent, la plupart des pays d’Europe y ont totalement renoncé, sauf en Suisse où elle demeure une juteuse survivance du passé, et ce alors même que l’obligation de vacciner contre la rage a été purement et simplement supprimée.
Fonction sociale
«Si la rage a disparu, pourquoi me prélève-t-on donc chaque année 190 francs? s’insurge Marielle. Lorsqu’on est à l’AVS comme moi, c’est un montant important, d’autant que mon animal de compagnie m’est indispensable. Après un certain âge, les chiens remplissent une véritable fonction sociale ».
Si le montant de cet impôt est variable selon les communes et les cantons, il est incontestable que les Lausannois font partie de ceux qui contribuent le plus. Aux 80 francs que les Neuchâtelois concèdent chaque année, les Lausannois opposent 190 francs de taxes, 90 francs au bénéfice de la commune de Lausanne et 100 francs pour le Canton.
Si l’on prend en compte le nombre de canidés recensés à Lausanne, et en excluant les animaux exemptés de taxes (animaux de personne non voyantes, ou appartenant à l’armée et à la police par exemple), on arrive à des sommes plutôt conséquentes pour les budgets cantonal et communal. Entre 2011 et 2017, la Ville de Lausanne a perçu environ 330’000 francs chaque année, tandis que le Canton se taille la part du lion avec une moyenne de… 3,5 millions annuels depuis de nombreuses années, selon les chiffres fournis par l’administration cantonale.
Le silence du Canton
D’une manière générale, la somme récoltée par les chiens se répartit sur le territoire de la Ville à hauteur d’un tiers pour la Ville et deux tiers pour le Canton.
A nos demandes sur l’utilisation précise de ces fonds, la Ville a bien volontiers répondu, tandis que le Canton a préféré se murer dans le silence se bornant à préciser que l’impôt «n’était pas affecté».
«Il est utile de mentionner qu’il ne représente que 0,06 % du montant total des impôts perçus par la Ville», précise Patrick Taillens, chef du Bureau des impôts de la Ville Lausanne. Et d’ajouter : «la gestion des chiens ne génère pas seulement des recettes. Sur la base des comptes 2014, les coûts directs y relatifs se sont élevés à environ 400’000 francs. Et ces montants n’intègrent pas les nombreuses prestations fournies dans le cadre de la mission générale des services de la Ville présentées tels que le nettoyage de la voie publique et des parcs, l’entretien, aménagement des espaces publics, etc.».
En clair, la gestion des chiens à Lausanne coûte plus cher à la Ville que ce que lui rapporte l’impôt : « nous portons une attention particulière à offrir des prestations en contrepartie de l’impôt que nous prélevons », résume Florence Germond, la Municipale en charge des finances lausannoises.
Abolition pure et simple
Ailleurs en tout cas, certains appellent à l’abolition pure et simple de la taxe. Depuis des années, des politiciens militent en ce sens, qu’il s’agisse du député genevois Thierry Cerrutti, dont le projet de loi avait été sèchement refusé par le Grand conseil du bout du lac, ou plus récemment de l’UDC Stéphane Florey qui dénonce «un impôt antisocial».
A Lausanne, Marielle prend son mal en patience, avec philosophie. « L’imagination des politiciens pour créer et maintenir des impôts est sans bornes. Et je suis sûr que la taxe pour les chiens est appelée à se maintenir, tant pour bien des gens elle est relativement indolore. Mais pour des modestes revenus, en revanche…»
Voici quelques nouvelles par quelques photos et vidéos des dernières prouesses de mes deux Super amis.
Comme vous le constaterez rien ne nous arrête. Qu’il vente, pleuve, neige, que la forêt tremble de froid ou par vent glacial, nous sommes toujours en mouvement durant 2 à 4 heures par jour.
Chaque jour est un exploit de Bonheur!
Ces jours-ci, Silver n’est pas dans sa “gamelle”. Il y des gargouillis dans l’estomac. Il ne mange donc pas son petit déjeuné. Il refuse toute friandise, même le bout de “gruyère” mon fromage préféré.
Il faut partir en balade le plus rapidement possible car, Silver n’attend que ça pour qu’il puisse manger de l’herbe. Il se purge avec des herbes et, lorsqu’il est soulagé alors-là, il accepte les friandises. Selon le véto, c’est un peu la saison pour ce genre de problème de santé.