Aujourd’hui, la balade fut fantastique et mémorable. J’ai découvert un nouveau parcours à 1100m d’altitude et, il y avait du soleil et de la faune.
Dès le début de la balade, j’ai été surpris de voir une joggeuse dans cet endroit un peu inaccessible. Les champions ne sont pas du tout intéressés à cette sportive.
Silver regardait en amont sans bouger et, sans vraiment vouloir aller à leur rencontre. Il y avait une horde de sangliers qui passaient tranquillement. Ils étaient plus d’une dizaine bien visible. Malheureusement, Comme souvent ça m’arrive, je n’avais pas mon super appareil photo avec un zoom de 600mm. En tous les cas, je n’avais jamais vu ça en plus de 20 ans de balade canine.
Mes deux champions ont été exemplaire, ils sont vraiment restés très sages. Un vrai plaisir ces deux-là. Plus tard, Silver a trouvé son « Trophée » mais, c’est Nicky qui s’en ai occupé.
La boucle de cette belle balade a été de 6 km. C’était parfait car, hier ce fut 10 km. Alors, un peu de repos pour aujourd’hui.
Une autre surprise étonnante est également apparue lorsque je descendais en voiture du col du Mollendruz. Un magnifique lynx traversait sans se presser la route. Je n’ai pas osé m’arrêter car, il y avait des voitures qui me suivaient. Mais, j’ai fortement ralenti afin d’admirer la belle bête. Mémorable, vraiment une mémorable balade de ce jour.
Nicky and Silver Star Braques de Weimar of Lully au-dessus du brouillard. Nov 2018
Nicky and Silver Star Braques de Weimar of Lully Nicky se cure les dents avec une corne de chevreuil.
«Nous portons une attention particulière à offrir des prestations en contrepartie de l’impôt que nous prélevons»
Florence Germond, municipale lausannoise
«Franchement, je ne comprends pas. C’est le type même de la taxe injuste, bête et méchante». Marielle, une retraitée sexagénaire de Chailly, ne décolère pas. Depuis qu’elle a pris connaissance, à la fin du mois de mars dernier d’un reportage diffusé au TJ de la RTS, elle ne cache pas son mécontentement. Car elle vient d’apprendre que la taxe qu’elle acquitte chaque année pour le toutou qui accompagne la fin de ses jours, est… inutile. Du moins si l’on se place dans une perspective historique.
Mise en place au 19ème siècle, la taxe pour chien avait en effet pour objectif de financer la capture et l’euthanasie des chiens errants lors des épidémies de rage. Depuis, avec la disparition de la maladie sur le continent, la plupart des pays d’Europe y ont totalement renoncé, sauf en Suisse où elle demeure une juteuse survivance du passé, et ce alors même que l’obligation de vacciner contre la rage a été purement et simplement supprimée.
Fonction sociale
«Si la rage a disparu, pourquoi me prélève-t-on donc chaque année 190 francs? s’insurge Marielle. Lorsqu’on est à l’AVS comme moi, c’est un montant important, d’autant que mon animal de compagnie m’est indispensable. Après un certain âge, les chiens remplissent une véritable fonction sociale ».
Si le montant de cet impôt est variable selon les communes et les cantons, il est incontestable que les Lausannois font partie de ceux qui contribuent le plus. Aux 80 francs que les Neuchâtelois concèdent chaque année, les Lausannois opposent 190 francs de taxes, 90 francs au bénéfice de la commune de Lausanne et 100 francs pour le Canton.
Si l’on prend en compte le nombre de canidés recensés à Lausanne, et en excluant les animaux exemptés de taxes (animaux de personne non voyantes, ou appartenant à l’armée et à la police par exemple), on arrive à des sommes plutôt conséquentes pour les budgets cantonal et communal. Entre 2011 et 2017, la Ville de Lausanne a perçu environ 330’000 francs chaque année, tandis que le Canton se taille la part du lion avec une moyenne de… 3,5 millions annuels depuis de nombreuses années, selon les chiffres fournis par l’administration cantonale.
Le silence du Canton
D’une manière générale, la somme récoltée par les chiens se répartit sur le territoire de la Ville à hauteur d’un tiers pour la Ville et deux tiers pour le Canton.
A nos demandes sur l’utilisation précise de ces fonds, la Ville a bien volontiers répondu, tandis que le Canton a préféré se murer dans le silence se bornant à préciser que l’impôt «n’était pas affecté».
«Il est utile de mentionner qu’il ne représente que 0,06 % du montant total des impôts perçus par la Ville», précise Patrick Taillens, chef du Bureau des impôts de la Ville Lausanne. Et d’ajouter : «la gestion des chiens ne génère pas seulement des recettes. Sur la base des comptes 2014, les coûts directs y relatifs se sont élevés à environ 400’000 francs. Et ces montants n’intègrent pas les nombreuses prestations fournies dans le cadre de la mission générale des services de la Ville présentées tels que le nettoyage de la voie publique et des parcs, l’entretien, aménagement des espaces publics, etc.».
En clair, la gestion des chiens à Lausanne coûte plus cher à la Ville que ce que lui rapporte l’impôt : « nous portons une attention particulière à offrir des prestations en contrepartie de l’impôt que nous prélevons », résume Florence Germond, la Municipale en charge des finances lausannoises.
Abolition pure et simple
Ailleurs en tout cas, certains appellent à l’abolition pure et simple de la taxe. Depuis des années, des politiciens militent en ce sens, qu’il s’agisse du député genevois Thierry Cerrutti, dont le projet de loi avait été sèchement refusé par le Grand conseil du bout du lac, ou plus récemment de l’UDC Stéphane Florey qui dénonce «un impôt antisocial».
A Lausanne, Marielle prend son mal en patience, avec philosophie. « L’imagination des politiciens pour créer et maintenir des impôts est sans bornes. Et je suis sûr que la taxe pour les chiens est appelée à se maintenir, tant pour bien des gens elle est relativement indolore. Mais pour des modestes revenus, en revanche…»
Notre balade s’est effectuée dans les bois de Bière et de Ballens. Nous avons profité du soleil et, de la nature enneigée. La neige fond très vite. Comme la paie ou la retraite en fin de mois. Après ça, on se retrouve dans la boue….
Bon, ne nous laissons pas aller et, profitons tant qu’on peut du peux de liberté qu’ils nous restent à promener vos compagnons. En plus, il faut tous les jours faire attention car, les chasseurs sont un peu partout. Mais bon, de nos jours, il faut vivre avec un tas de parasites.
Nicky and Silver Star Braques de Weimar of Lully sont “tombés sur des mini pommes” Act 2
Ce qui est beau et qui me fait garder la forme et le moral, c’est de voir mes deux compagnons HEUREUX. Et, ça tant que je peux l’assumer, je le ferai.
Après mes deux champions, j’arrêterai totalement de prendre un chien car, d’ici-là, il y aura encore des tas de restrictions, lois, taxes, etc…. Je regarderai mes archives canines dans une cabane au fond du jardin ou, au Canada.
Nicky and Silver Star Braques de Weimar of Lully font du “Braque Storm”
Cette fois, en fin de la semaine dernière, je voulais vraiment aller au-dessus du brouillard mais, pas de chance. Il y en avait encore à plus de 1400 m d’altitude. Le parcours s’est effectué juste avant le sommet du Marchairuz. Une balade très physique car, ça ne fait que de monter. En plus de cela, c’est très escarpé, glissant et enroché. Il faisait également froid, – 2°et, pour couronner le tout, j’ai eu bien du mal é retrouver le chemin du retour. Par chance, mon appli GPS find fonctionne très bien. Elle m’aide vraiment lorsque j’effectue une toute nouvelle balade.
Nicky and Silver Star Braques de Weimar of Lully découvrent une nouvelle place de pic-nique.
Aujourd’hui 19 novembre, la balade s’est effectuée dans les bois de Yens et, nous avons reçu sur la tête nos premiers flocons de neige. Bon, il n’y a pas eu de quoi avoir mal. Par contre, je commence à moins supporter le froid. Mais, 2 heures c’est encore supportable. De plus, lorsque je vois mes deux amis être si heureux en balade, ça me réchauffe le cœur. J’ai toujours à rire avec leurs attitudes. Ils sont tout de même cabotin.
Nicky and Silver Star Braques de Weimar of Lully jouent dans la première neige. Nov 2018
Nicky and Silver Star Braques de Weimar of Lully se réchauffent avec du charbon de bois Nov 2018